Domaines de compétence (cliquez ici pour en savoir plus):
Etudes de polychromie (macrophotographie, échelles stratigraphiques, analyses)
Sculptures en terre cuite, plâtre, pierre, marbre, albâtre, bois polychromé, ivoire, cire...
Archéologie préhistorique osseuse (bois de cervidés, ivoires, dents, os)
Objets composites
Objets ethnographiques, matériaux organiques (plumes, cheveux, coquillages...)
Décors architecturaux et mobiliers (grilles, huisseries, modénatures, ...)
Archéologie (terre cuite, pierre)
Art contemporain (matériaux synthétiques et plastiques)
Conservation préventive et chantiers de collections
Expertise et conseil en conservation-restauration et histoire technico-matérielle
Etudes préalables, constats d’état, diagnostics et conseils
Restauratrice-conseil pour le Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France de 2008 à 2015 pour les filières Sculpture polychromée, Ethnographie, Arts décoratifs et Archéologie.
Dernière information :
Cette profession passionnante est malheureusement source de danger pour ceux/celles qui l’exercent, notamment par la pénibilité des conditions de travail et l’exposition permanente aux produits toxiques souvent impliqués dans les opérations de restauration. D’autre part il s’agit contre toute apparence d’une des professions les plus précaires qui soient du point de vue économique, ce qui conduit de nombreux confrères et consœurs à devoir renoncer à leurs merveilleuses compétences pour pouvoir garder une certaine dignité de revenus. La profession est en danger autant que les œuvres patrimoniales.
Pour ma part, de nombreuses allergies aux produits chimiques couramment utilisés en restauration m’ont menée à arrêter d’exercer. Cela est convergent avec les conditions (cala)miteuses d’exercice en France actuellement. Panem et circenses semble être la consigne implicite ! Autrement dit, exercer aujourd’hui est humiliant.
Je laisse pour l’instant ce site ouvert, pour le plaisir de naviguer.
Mise à jour : 22 septembre 2019